~ Ancenis - Saint-Géréon & le Pays d'Ancenis ~

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31 - Les villages & lieux dits -

Les Airennes, ou Arennes ou érennes, dont le toponyme trouve probablement son origine du fait d'une implantation romaine, du carrelage y ayant été retrouvé ainsi qu'une canalisation pouvant servir d'aqueduc pour alimenter la cité des Airennes. Ce coteau est planté de vignes, jusqu'à la Révolution, qui sont exploitées par le prieuré de Saint-Géréon. C'est au manoir des Airennes qu'est née en 1890 Anne-Marie Greffier qui a épousé en 1911 Césaire-Albert Bodard, parents du futur grand reporter et écrivain Lucien Bodard (1914-1998), prix Goncourt 1981 avec "Anne-Marie", roman dédié à sa mère.

Belphaget, ou Bethphagé {maison, en hébreu}, ancien village dont le toponyme aurait été donné par d'anciens légionnaires romains ayant occupé la Palestine à raison de certaines analogies du lieu avec des sites de ce pays... Le village abrite un puits de l'époque gallo-romaine ; il a été occupé par des laboureurs, vivant aussi de la pêche en Loire et y cultivant l'osier pour la fabrication de bosselles et de nasses. C'est en cet endroit, au passage à niveau, remplacé depuis par l'actuelle passerelle de chemin de fer, que le 22 juin 1982 s'est produit un accident ferroviaire provoqué par la présence d'un camion bloqué sur la voie, accident qui n'a fait que des blessés, en particulier des enfants de Haute-Savoie revenant d'une classe découverte. Le train s'est arrêté juste devant le petit sanctuaire de la grotte de Lourdes...

Biganne, petit hameau, en réalité une borderie {petite ferme}, sur la route de Nort-sur-Erdre ; en 1864, y est érigée, par un couple dont le fils est prêtre, une croix en tuffeau, portant sur son socle une sculpture de Sainte-Face ; la croix en tuffeau, abattue par la tempête de 1999, est maintenant remplacée par une croix en métal. Un forgeron y a exercé jusqu'en 1980.

La Bigoterie, petit hameau en bas de la Croix de Mission, faisant face à la station d'épuration.

Le Bois Mouchet, sur le point culminant de l'ancienne commune de Saint-Géréon, à l'ouest du bourg sur la RD 723, tire son nom d'une déformation du mot "émouchet", ou épervier mâle, probablement un lieu boisé où résidaient des oiseaux. Des haches du néolithique y ont été découvertes. En 1679, la métairie du Bois Mouchet fait partie des domaines seigneuriaux du Prieuré ; le lin y est cultivé jusqu'au début du XX° siècle. Un calvaire y est édifié en 1929.

Le Bois Robin, du nom de ses premiers habitants, dont la ferme a appartenu aux seigneurs de la Chevasnerie dans les années 1750.

Brébion, village dans lequel des indices d'une occupation gallo-romaine ont été découverts vers 1890. Il est probable que ce lieu-dit ait été fondé et habité par des gens portant le patronyme de Brébion, nom de famille présent à Saint-Géréon depuis 1676. En contrebas, dans la praire inondable dite "charnier aux chevaux" auraient été inhumés les chevaux des vendéens capturés à Ancenis au retour de la Virée de Galerne, après le siège du Mans, les Vendéens ayant été inhumés dans des grandes fosses à l'endroit actuel du stade de la Davrays.

Le Bréjoubert, ce lieu-dit, situé au nord-ouest du bourg sur la route de Couffé, tire son origine de la contraction et de l'altération de son nom d'origine, "Le Pré Joubert". Ce village appartenait à la seigneurie de l'Écochère.

La Bricauderie, sur la route de Nort-sur-Erdre, autrefois "La Grande Bricauderie", la Petite Bricauderie se situant à l'ouest en face, sur la route du Bois Robin, a été probablement fondée au XIII° siècle lors des grands défrichements. Il tire son toponyme du nom de son propriétaire "Bricaud". En 1633, les seigneurs de la Chevasnerie y exploitent les métairies et les vignobles, un pressoir banal y étant attesté au XVIII° siècle. Sous l'Ancien Régime les terres des Haute et Basse Bricauderie font partie du bénéfice ecclésiastique de la chapellenie Rouseau-Ribot {bénéfice procuré à un prêtre en échange de la célébration d'un certain nombre d'office}.

Le Bois Robin, du nom de ses premiers habitants, la ferme appartient aux seigneurs de la Chevasnerie dans les années 1750.

Les Brûlis, ces terrains défrichés par le feu pour fertiliser les terres, domaine seigneurial de l'évêque, puis du prieuré, sont occupés principalement par des laboureurs et des employés du four à chaux.

Le Champ Roncin, ou Roucin, ou Roussin, a comporté un moulin, relevant de la juridiction de l'évêque de Nantes, sur le coteau duquel était cultivée de la vigne, près des habitations, dont le prieuré percevait des redevances

Le Chêne Guérin, à 1700 m au nord du bourg, ce hameau est constitué d'anciennes fermes, dont le nom se rapporte probablement au patronyme de ses anciens habitants. Un calvaire y esst édifié en 1886, remplacé en 1935.

La Chevasnerie, seigneurie édifiée sur un site mérovingien, doit son origine à Jean de la Henrière, chevalier anobli par le duc de Bretagne en 1430 qui lui attribue le fief de la Chevasnerie. Il est occupé par les allemands durant la Seconde Guerre mondiale.

Le Clos Géréon, à l'est du bourg, près de la voie ferrée, manoir assez ancien puisque mentionné au XVII° sur la carte de Cassini, comprenant une maison de maître et une métairie, enclos de murs, d'où son nom, a été occupé par Me Bousseau, notaire à Ancenis, père du futur médecin et maire d'Ancenis. Le Général Félix Séchet (1880-1974) y meurt le 19 février 1974.

Le Clos Martin, situé derrière le prieuré, planté de vignes, est acquis dès 1337 par l'évêque de Nantes.

Le Petit & le Grand Corbin : sous l'Ancien Régime, le Petit Corbin, planté de vignes, est contrôlé par les seigneurs de l'Écochère, puis sous la Révolution, la borderie est vendue comme bien national.

La Coudraie : occupée dès le néolithique, située à 3 km à l'ouest du bourg, tire son non de l'ancien français "coudraye", terrain planté de coudriers (noisetiers). Il est attesté qu'en 1471, elle est sous la dépendance de l'évêque de Nantes, puis sous celle du seigneur de la Guère aux alentours de 1603.

Le Créneau (ou Corneau) : sous la juridiction de l'évêque de Nantes, ce hameau proche de la Duguenière, de la Herrière et du Bréjoubert, a maintenant disparu.

La Croix de Mission : ce lieu est un point stratégique traversé par une ancienne voie romaine qui reliait Saint-Géréon et Drain via un passage submersible de la Loire. Ce hameau était sous la dépendance de l'évêque de Nantes. De nombreux moulins y ont été établis. Vers 1919, Stanislas Guindon, originaire de Mouzillon, propriétaire de plusieurs vignes à Saint-Géréon, s'établit à proximité pour les exploiter. L'existence d'une croix est probablement ancienne puisqu'elle a donné le nom au hameau. L'actuelle monument date de 1936 et a été rénové, avec un nouveau socle, et déplacé en juillet 1991 pour l'aménagement du carrefour.

La Dabotière : ce hameau tire son nom du patronyme "Dabot" ; c'est un lieu planté de longue date en vignes, catuellement traversé par la rocade de contournement de la ville.

La Davrays : le ruisseau de la Davrays a autrefois délimité les communes d'Ancenis & Saint-Géréon, formant une dépression marécageuse, enjambé par un pont "le ponceau de la Davrays", sur lequel se tiennent les audiences des 2 juridictions de Saint-Géréon, le prieuré et les regaires. Ce fief est rajouté en 1483 aux possessions épiscopales, revendu en 1613 et acquis en 1642 par les religieuses des Ursulines.

La Duguenière : ce hameau agricole, proche de la route de Nort-sur-Erdre, tire son nom du patronyme "Duguet".

L'Écochère : le château de l'Écochère est construit sur le site d'une motte féodale qui existe déjà au X° siècle ; la seigneurie en est attestée dès 1248. L'Écochère fait partie de la ligne de défense de la frontière bretonne face à l'Anjou. Depuis 1987, les vignes du château appartiennent à l'Établissement de travail protégé Saint-James, qui produit des vins de qualité souvent primés. Depuis les années 2000, le château est la propriété de l'Association "Solidarité Plurielle", liée à Emmaüs, pour l'insertion des personnes en difficulté sociale ; la chapelle est remise en état en 2003.

L'Enclos ou Renclos : parfois trouvé en archives sous le nom de Grand Clos : au XVII° siècle, les religieuses des Ursulines de la Davays possèdent un jardin ceint de murs qui entourent le couvent ; ce sont ces jardins qui forment aujourd'hui ce village, les maisons d'origine ayant une vocation agricole pour le couvent (cellier, grange, écurie, pressoir, habitations des domestiques).

Les Gastinelleries : ce lieu-dit désigne des terrains situés à la frontière d'Ancenis, près de l'actuelle RD 723. L'étymologie donne une explication sur la nature des sols, la gastine étant une terre pauvre, en friche, ou marécageuse, le ruisseau de La Gilarderie le traversant. Cet espace est couvert de construction depuis les années 1960.

Le Gotha : l'origine est du nom n'est pas certaine, peut-être de la peuplade des Goths, mercenaires ou colons de l'empire romain au moment de la conquête de la Gaule, peut-être de ce que le monastère édifié sur la bute ressemble au Mont Golgotha {mont du crâne} ; au VI° siècle, sur cette butte se trouve un oratoire, puis un monastère s'y établit au début du X° siècle ; détruit en l'an 1000, il devient le prieuré bénédictin vers l'an 1100. Les logements du Prieuré et le grand domaine viticole le constituant sont vendus à la Révolution comme biens nationaux.

La carrière, attestée depuis les années 1600, n'est réellement exploitée que vers le milieu du XIX° siècle ; propriété de l'État, elle est concédée à un entrepreneur pour l'extraction du porphyre, très recherché pour l'empierrement des routes de Nantes à Paris et d'Angers à Brest, dont l'exploitation extensive a conduit à la destruction du prieuré, dont l'État avait acquis les locaux en 1860 ; elle est fermée dans les années 1920 pour éviter la destruction du bourg sous le pic des carriers...

La Gendronnière : parfois orthographiée "Jeandronnière", ce village situé au nord de l'Espace 23 dépend de la juridiction épiscopale avant de passer dans le domaine de la Chevasnerie vers 1633. Il se.

Les Grandes Pierres Meslières : ce site préhistorique, situé sur une croupe rocheuse à 3 km à l'ouest du bourg, domine la Loire. Le rocher en quartzite, exposé plein sud n'est que le vestige d'un plus important rocher qui sert alors d'abi sous roche aux hommes de Cro-Magnon. Le sol étant trop acide, aucun reste humain ne subsiste. Il a existé également en cet endroit un groupe de 48 menhirs formant plusieurs lignes qui ont disparu lors du défrichage des terres et taillis. La croix actuelle du sommet, a été installée en 1886, en replacement de l'ancienne brisée par le tonnerre. La métairie de la Grande Pierre Meslière, appartenant à la famille de l'Écochère, est située à côté des rochers.

Le Landreau : du vieux français désignant un terrain vague, une lande, ce lieu-dit est à cheval sur les communes de Saint-Géréon et de Couffé.

Mignonne : ce lieu-dit désigne un espace de terres, planté de vignes, situé entre le cimetière et le Clos Géréon, proche de la rue des Maîtres. On retrouve en archives la masure bâtie le long du mur du Clos Géréon qui abritait alors un pressoir à long-fût "la mignonne". Les Clos de Mignonne sont exploités jusque vers 1985, produisant un Muscadet qui a obtenu 7 médailles d'or lors des foires-concours des vins d'Ancenis. En ces lieux se situent maintenant les cités des Masses et Mignonne.

Le Moulin Bricaud : a relevé de la juridiction seigneuriale du château de la Chevasnerie sous l'Ancien-Régime. L'activité meunière s'est poursuivie tout au long du XIX° siècle. Il est maintenant transformé en un cabanon de jardin, recouvert de tuiles et il reste la maison du meunier, sur la route de Nort-sur-Erdre.

Les Moulins Bruneau & de la Corne : situés dans le secteur des Airennes, il n'en reste aucune trace.

Le Moulin de la Davrays : situé auparavant sur le coteau entre la Davrais et le Pont-de-Biais est démoli en 1872.

Le Moulin Gasnier ou Moulin Pohu : subsiste encore sous la forme d'un tronçon visible depuis l'impasse de Airennes ; il a cessé son activité au cours de la Première Guerre Mondiale.

Le Moulin Godin : alors situé à l'entrée de l'actuelle Impasse des Airennes est une ancienne meunerie qui a cessé son activité dès 1734 ; en 1817, il a été rénové et a repris son activité ; il a disparu depuis.

Les Moulins des Masses : situés au lieu-dit "Les Masses", sur le boulevard des Airennes, ont fonctionné jusque dans les années 1930. L'un des deux est transformé en habitation après 1988 et le second, plus à l'est, rénové et aménagé en résidence en 2007.

Le Moulin des Vignes : proche de la Croix de Mission, a fonctionné jusque dans les années 1870 pour être démoli peu avant le début du XX° siècle ; il laisse son nom à quelques terres.

Le Mortier : situées rue du Clos Martin, ces habitations tirent leur nom du vieux français "mortier" signifiant alors "mare", en référence au lavoir qui se trouvait à la place du parking actuel de la salle du Mortier.

Le Petit Moulin : , sur la route d'Ancenis, proche du quartier Rohan, relève, sous l'Ancien-Régime, de la juridiction du Prieuré de Saint-Géréon. Ce village, le plus peuplé du bourg en 1857, est en fait constitué du Haut et du Bas Petit Moulin. Il abrite alors des haltes pour voyageurs et des auberges. Une statue de Notre-Dame-des-Armées a été érigée sur la place du village en 1901. C'est au Petit Moulin que Pierre Dautel, sculpteur et grand prix de Rome de 1902 réside et y possède son atelier "Les Muchettes". Le moulin à vent a cessé son activité en 1947.

Les Petites Pierres Meslières : proches des Grandes Pierres Meslières, tire probablement son origine de l'emplacement de quelques petits menhirs ; il est limité à une ferme, dont le bâtiment date de 1816, et qui est restée en activité jusqu'en 1979.

La Petite Écochère : attestée en 1857, il s'agit de la ferme du château de l'Écochère.

La Paquelière : désigne le nom d'une propriété bourgeoise, proche du Petit Moulin, manoir édifié au XIX° siècle au bord de l'ancienne route de Nantes, entouré d'un parc arboré de 7 500 m².

La Pommeraie : ou Pommeraye, ce hameau, perché sur le coteau du Pont-Chapeau, est limitrophe de la commune d'Oudon, face au village de la Robinière.

Le Pont de Biais : quartier situé entre le Petit Moulin et la Davrais, le long de l'ancienne route de Nantes, doit son nom au pont qui enjambe la voie ferrée depuis 1850 ; le pont est rénové dans les années 1960. Le bistrot qui animait le quartier est fermé à la suite du départ des escadrons de gendarmerie mobile du quartier Rohan.

La Petite Rivière : situé à 2,7 km au nord-ouest du bourg, à proximité de la Coudraie, se réduit maintenant à une ancienne ferme isolée. L'origine du nom est liée à la présence d'un ruisseau temporaire, formé pour l'écoulement des eaux de l'étang de la Guère.

Le Pré Haussé : proche du Petit Moulin, le toponyme trouve son origine dans la présence d'une carrière remblayée au XIX° siècle par des murs rehaussés. Acquise en 1951 par Étienne Toublanc elle devient le siège d'une exploitation viticole, dont le lieu de production est le "Domaine de l'Ouche Guignière"

La Ragotière : la présence humaine est attestée de longue date en ces lieux, des cailloux du paléolithique y ayant été retrouvés ; située à 1 km à l'ouest du bourg, au bord du boulevard des Airennes, elle est connue pour la source qu'elle abrite et dont la légende dit qu'elle serait née sous le sabot du cheval de Saint-Géréon... Des vertus miraculeuses lui ont été prêtées et des processions étaient organisées pour invoquer la clémence divine en période de sécheresse. Durant la Révolution, les "Hussards de la Mort" fusillent 17 (22 ?) chouans dans le champ de la Ragotière. En 1857, la Ragotière est une borderie à laquelle d'autres maisons se sont jointes depuis lors.

La Robinière : situé à la limite d'Oudon, au bord de la route de Nantes, à proximité du ruisseau de l'Omblepied et de la côte de Pontchapeau, ce hameau de vignerons remonterait au XV° siècle ; son manoir du XVII° siècle comporte une charpente en carène de bateau renversé, un fronton triangulaire, ses fenêtres à meneaux ayant été victimes de la dernière rénovation...

La Rougeaudière : ces terres, sont alors exploitées par le prieuré de Saint-Géréon dont la ferme, située face au Calvaire de l'avenue du Mortier est une métairie ; vendue à la Révolution elle devient propriété du Comte Thoinnet de la Turmelière de Liré qui la revend par la suite.

La Cité de la Rougeaudière est un lotissement communal édifiée en 1962.

Le Tertre : situé le long de la route de la Vallée, entre le Champ Roncin et le Renclos, est un village qui tire son nom de sa situation, ses habitations étant édifiées sur un tertre pour les soustraire aux aléas des crues de Loire.

La Vallée : village auprès duquel se cultivait le chanvre pour les textiles et les cordes ; seul ne subsiste aujourd'hui, le corps de bâtiment d'origine n'est décelable que par la présence d'un four.

Les Vignes : situé entre la Croix de Mission et le bourg, le lieu-dit fait référence à une ancienne propriété viticole, entourée de murs, devant laquelle sont plantés un séquoia et un araucaria, conifère originaire d'Amérique du Sud.

L'Usine de l'Écochère : le nom de ce lieu-dit, qui correspond à l'actuel siège de la maison Guindon sur le boulevard des Airennes, fait référence à l'exploitation du four à chaux et de la carrière de calcaire en contrebas, maintenant transformée en mare, qui a fonctionné jusqu'à la fin du XIX° siècle. Une croix est édifiée au sommet du four à chaux de l'Usine en 1898. Stanislas Guindon, vigneron à Mouzillon, contraint, par l'épidémie de phylloxéra qui ravage les vignes, de s'établir comme coiffeur à Ancenis, s'y installe en 1903 et y plante plusieurs cépages, dont le pinot gris, qui par un hasard de vinification, donnera le Malvoisie, dont la première récolte remonte à 1909, sa renommée étant immédiatement récompensée par une médaille d'argent au Concours général agricole de Paris en 1910.





11/05/2019
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